T'FAÇON ON EST EN 2012
/ Danse · à partir de 14 ans · 45' · Création octobre 2025
Utilisant le phénomène contemporain de clash par vidéos interposées comme toile de fond, Loraine Dambermont déploie un imaginaire populaire commun autour de la violence des mécanismes d’intimidation et de provocation
entre clans rivaux.
Chorégraphe Loraine Dambermont Interprètes Loraine Dambermont, Maxime Cozic, Jacob Börlin Création musicale Loraine Dambermont avec la participation de Alain Deval Direction technique et création lumière Gaspar Schelck Création costumes
Catherine Somers Réalisation costumes Catherine Somers et les Ateliers du Théâtre de Liège Typographie & vidéo Sam Bodson
Traduction surtitres EN John Porter Regard extérieur et aide à la dramaturgie Fabien Philippe Marie Photographies Margot Briand
Captation vidéo Guillaume Simonin - Shadow film Développement, communication et diffusion BLOOM Project
Production Lodbmt Production déléguée BLOOM Project
Coproduction Théâtre de Liège, Charleroi danse - Centre Chorégraphique de Wallonie-Bruxelles, Les Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Les Brigittines, Le Gymnase CDCN Roubaix – Hauts-de-France, Pole Sud - CDCN de Strasbourg, ICK-Artist-Space Amsterdam, La Coop asbl et Shelter Prod Avec l'aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service de la Danse Avec le soutien de Taxshelter.be, ING, tax shelter du gouvernement fédéral belge, Wallonie-Bruxelles International, Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, Le BAMP - Bruxelles, De Grote Post - Ostende, Théâtre de Suresnes Jean Vilar Accueils en résidence Le Gymnase - CDCN de Roubaix dans le cadre du dispositif Accueil-Studio, ICK-Artist-Space Amsterdam, Pole Sud - CDCN de Strasbourg, De Grote Post, Charleroi danse, Théâtre de Liège, Grand Studio - Bruxelles, Théâtre de Suresnes Jean Vilar, Les Brigittines - Bruxelles, Le BAMP - Bruxelles
Utilisant le phénomène contemporain de clash par vidéos interposées comme toile de fond, Loraine Dambermont déploie un imaginaire populaire commun autour de la violence des mécanismes d’intimidation et de provocation entre clans rivaux.
Elle développe une chorégraphie «expéditive» - à l’image du rap fast flow - incarnant sur scène des figures quireflètent et questionnent les stéréotypes virilistes. La précision avec laquelle les mouvements se synchronisent avec le son intensifie l’impact de la performance :
Cette musicalité singulière devient un fil conducteur, liant l’expressivité d’une gestuelle percutante à une rigueur technique.
En amenant ce comportement au plateau, T’façon on est en 2012 cherche l’équilibre entre le paroxysme de l’autodérision et l’extrême sincérité d’un constat inquiétant face à une montée en puissance de l’appel à la bagarre.
- Un clash chorégraphique explosif -
Loraine Dambermont livre un spectacle
qui cloue littéralement le public dans son siège.
Jean-Marie Wynants | Le Soir




