
FLESH
Cie Still Life
THÉÂTRE VISUEL
Création février 2022 - 80'
presse.
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Total theatre| Dorothy Max Prior - 05/01/2023
The Word Made Flesh: London International Mime Festival 2023
"Death is always present - it reminds us that we are alive"
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Libération| Anne Diatkine - 22/07/2022
En quatre petites pièces sans parole, le collectif Still Life dessine, entre fantastique et horrifique, un univers où toute rencontre charnelle vire à la catastrophe.
« Ce sont quatre pièces muettes et concises autour de l’étreinte, des flashs pourrait-on dire, si frappants qu’ils se passent de paroles – le spectateur
prend le relais, les mots cavalent dans son esprit face aux situations follement quotidiennes et banalement terribles que les instigateurs, inventeurs, metteurs en scène, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola, lui mettent sous les yeux.»
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SACD| Interview avec Marie Baudet - 21/07/2022
L'Écriture instinctive et spécialisée de Still Life
« Ce qui compte et que nous avons absolument envie de creuser, c'est cette expérience collective du vivant au même moment au même endroit, sans interférence. C'est tellement important, nécessaire, et de plus en plus rare. »
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Transfuge| Hughes Le Tanneur - 08/07/2022
Dans FLESH, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola fouillent à coups de
bistouri l'épaisseur de la chair humaine.
« L'humour noir flirtant avec la fantaisie la plus débridée est la tonalité
dominante de FLESH, spectacle sans parole mais d'une impressionnante
force plastique.»
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Les Inrockuptibles| Patrick Sourd - 08/07/2022
En quatre histoires sans paroles, on s'amuse d'un grand écart entre la vie et
la mort.
« Autant d'endroits où les deux auteur.trices mettent les corps à l'épreuve du
réel, pour traiter de la vie et de la mort, avec la même ironie mordantes »

La Terrasse| Anaïs Heluin - 26/06/2022
FLESH, spectacle entièrement visuel de Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola
« Avec FLESH, le duo de créateurs formé par Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola poursuit sa recherche sur le besoin de l’Autre, et sur l’état des corps dans nos sociétés contemporaines. Composé de quatre formes courtes, ce spectacle entièrement visuel nous plonge auprès de solitudes qui ne demandent qu’à être peuplées. »
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Luxemburger Wort| Stéphane Gilbart - 14/03/2022
Corps à corps
« SI FLESH nous touche tant, c'est grâce au magnifique travail de la compagnie Still Life [...]. Quelle précision dans le jeu ... corporel, dans le moindre détail de celui-ci, quel découpage précis des séquences, quel maîtrise du rythme de la représentation. On se réjouit du spectacle, on réfléchit à ce qu'il nous dit. »
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Moustique| Éric Russon - 26/02/2022
Les amateurs de burlesques intelligent (et de Terry Gilliam) apprécieront.
« La compagnie Still Life de Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola s'attaque à la thématique du corps dans un spectacle visuel, à la fois léger et profond, qui rassemble quelques histoires courtes. [...] Le force du spectacle réside dans l'équilibre qu'il réalise en permanence entre le rire qui fuse et les larmes qui montent, parfois en même temps. »
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Le Suricate| Sûrya Buis - 21/02/2022
Une satire contemporaine avec un goût de Black Mirror théâtral.
« En nous propulsant d'une chambre d'hôpital à une Virtual room, les 1h15 du spectacle de [la cie] Still Life tanguent entre malice et tragédie. Une réussite qui tient l’œil du spectateur captif malgré l'absence de dialogue. Mimésis d'évènements tragiques et vaudeville moderne, la théâtralité trouve un juste équilibre bien résumé par le titre FLESH, dystopie attendrissante. »
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Point Culture| Jean-Jacques Goffinon - 23/02/2022
Désopilant est ici un piètre mot, glaçant l'est tout autant !
« Le spectacle fait appel à tant de registres conjugués à la perfection qu'il en est magnifié, le travail esthétique largement à la hauteur de ce que la Cie Still Life a l'habitude de proposer. [...] LSans mots mais avec une tonne de malices et d'intentions justifiées, la Cie Still Life emporte le public dans ses cavalcades loufoques. Un public fasciné, intrigué et pour sa plus grande joie mis à mal. »
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Le Soir| Jean-Marie Wynants - 21/02/2022
En quatre petites histoires muettes, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola montrent à quel point le contact humain, en chair et en os, nous est indispensable.
« Entre rire et émotion, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola (avec Thomas Van Zuylen pour le scénario, Sophie Leso pour la mise en espace et en mouvement et Aurélie Deloche pour la scénographie aussi juste qu'astucieuse) nous entraînent dans leur monde où les gestes prenent le pas sur la parole, où les corps expriment ce que les voix ne disent pas. »
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Demandez le programme| Didier Béclard - 21/02/2022
L'irrépressible besoin de se connecter à l'autre. [...] À découvrir.
« Au travers de quatre courtes histoires sans paroles, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola pénètrent dans l'intimité des rapports humains. Entre émotion et rire, FLESH magnifie le toucher de la chair, le contact physique, l'étreinte reléguée au rang de fantasme en ces temps de pandémie. »
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La Libre| Marie Baudet -18/02/2022
La nouvelle création de la cie Still Life questionne, en quatre tableaux muets, notre faim de contact.
« Désopilants et tragiques, quatre moments qui mettent en perspective, la présence et l'absence, le manque et le désir, l'avidité et le dépit. »
Focus - Le Vif | Estelle Spoto -18/02/2022
Misant toujours sur la puissance du non verbal, la compagnie Still Life compile dans FLESH quatre scènes courtes où il est question de chair vraie et fausse, de vie et de mort. [...] drôlement bien tapé.
« Dans ces piquantes chroniques des mœurs humaines au XXIe siècle, le réel dévoile dans une boîte à surprise (épatante scénographie d'Aurélie Deloche) son hilarante absurdité. Il se pare parfois de fantastique pour souligner le trait, notamment dans un final grand-guignolesque à souhait. »
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L'Écho | Aliénor Debrocq -12/02/2022 (avant-papier)
Trois ans après NO ONE, la cie Still Life retrouve la scène des Tanneurs pour une création en quatre formes courtes, comme autant de pulsions.
« Les deux fondateurs de Still Life aiment dire qu’ils dépeignent sans mots « un monde où tout va formidablement mal » : une formule qui sous-entend l’importance du grain de sable dans la machine bien huilée du système, l’élément déclencheur d’une situation souvent catastrophique qui va susciter l’émotion du public et le reconnecter à notre commune humanité. «Comment, à travers quelque chose de terrible, nous pouvons révéler une étincelle, un espoir», note Aurelio Mergola. »